« Par la peine la joie » : cette maxime, qui reconnaît la véritable valeur de l’ « effort », si chère à Beethoven, s’applique à toute véritable rencontre avec un « Monument de la Pensée Humaine » : œuvre littéraire, scientifique, artistique…
C’est par la concentration (la « centration »), le Silence et la « Grande Musique » que s’aiguisent et la générosité de l’âme, et la profondeur de l’intellect.
Par le bruit et les sons vulgaires, on abrutit facilement les foules…phénomène bien connu de toute dictature !
Dans la France d’aujourd’hui, les musiciens (les vrais, les « sérieux »), au terme d’études longues et difficiles, « rasent les murs » (il faudrait presque avoir honte de jouer le répertoire relégué comme « classique») – tandis que d’infâmes « soaps » sont déversées quotidiennement dans les rues, les magasins, et –même- les lieux publics….
Pourtant, la France, grande Nation Culturelle, compte, depuis plus d’un siècle, parmi les premières écoles compositionnelles mondiales, et les interprètes y sont de premier ordre : alors, à quand la réhabilitation et la généralisation d’une véritable Culture musicale ?
Si seulement les médias généralistes pratiquaient une politique des trois tiers : un tiers « Grandes Oeuvres du passé », un tiers « Musique Patrimoniale du monde entier », un tiers « musiques d’aujourd’hui », dont on n’exclurait pas les courants « savants » contemporains (non, les compositeurs ne sont pas « tous morts » !) : ce très léger effort rééduquerait les fragiles oreilles de nos jeunes enfants, et favoriserait, de la façon la plus démocratique possible, l’accession à une véritable culture – la plus large possible – pour tous.
Oui, mais… : alors, de tous côtés, par cette appartenance et cette identification culturelle, émergeraient des Intelligences, de profondes Pensées, une vaste générosité, une vraie citoyenneté : … tant est prégnant le pouvoir de la musique sur l’âme humaine !
« Par la peine la joie » : cette maxime, qui reconnaît la véritable valeur de l’ « effort », si chère à Beethoven, s’applique à toute véritable rencontre avec un « Monument de la Pensée Humaine » : œuvre littéraire, scientifique, artistique…
RépondreSupprimerC’est par la concentration (la « centration »), le Silence et la « Grande Musique » que s’aiguisent et la générosité de l’âme, et la profondeur de l’intellect.
Par le bruit et les sons vulgaires, on abrutit facilement les foules…phénomène bien connu de toute dictature !
Dans la France d’aujourd’hui, les musiciens (les vrais, les « sérieux »), au terme d’études longues et difficiles, « rasent les murs » (il faudrait presque avoir honte de jouer le répertoire relégué comme « classique») – tandis que d’infâmes « soaps » sont déversées quotidiennement dans les rues, les magasins, et –même- les lieux publics….
Pourtant, la France, grande Nation Culturelle, compte, depuis plus d’un siècle, parmi les premières écoles compositionnelles mondiales, et les interprètes y sont de premier ordre : alors, à quand la réhabilitation et la généralisation d’une véritable Culture musicale ?
Si seulement les médias généralistes pratiquaient une politique des trois tiers : un tiers « Grandes Oeuvres du passé », un tiers « Musique Patrimoniale du monde entier », un tiers « musiques d’aujourd’hui », dont on n’exclurait pas les courants « savants » contemporains (non, les compositeurs ne sont pas « tous morts » !) : ce très léger effort rééduquerait les fragiles oreilles de nos jeunes enfants, et favoriserait, de la façon la plus démocratique possible, l’accession à une véritable culture – la plus large possible – pour tous.
Oui, mais… : alors, de tous côtés, par cette appartenance et cette identification culturelle, émergeraient des Intelligences, de profondes Pensées, une vaste générosité, une vraie citoyenneté : … tant est prégnant le pouvoir de la musique sur l’âme humaine !